Troisième journée du Festival sous le ciel lourd de Yokohama, mais porté par le cœur léger des cinéastes et artistes qui, toute la journée, vont venir à l'Aeon Cinéma de Minato Mirai pour présenter leurs films et rencontrer le public japonais, toujours chaleureux.
Ce samedi, ce sont successivement Michel Ocelot (pour Dilili in Paris), Louis-Julien Petit (pour Invisibles), Lisa Azuelos et Thaïs Alessandrin (pour Sweetheart), Antonin Baudry et François Civil (pour The Wolf's Call) et enfin Sébastien Marnier et sa productrice Caroline Bonmarchand (pour スクールズ・アウト), qui ont goûté au plaisir des rencontres avec le public japonais, d'abord en salle après chaque projection, pour un débat, puis dans l'espace réservé aux séances de dédicaces où les petits cadeaux continuent de pleuvoir.
Le matin, Claude Lelouch partait pour l'université de Waseda où une masterclass lui était consacrée, ponctuée de nombreux extraits des films qui ont marqué sa longue carrière. Dans la salle, un étudiant pas comme les autres, un certain Hirokazu Kore-Eda...
Et de leur côté, Mikhaël Hers et Vincent Lacoste ont pris la route de Tokyo, pour aller faire la tournée des salles où est projeté Amanda, qui sortait le jour même au Japon.
Le 23 juin, soit pour le dernier jour du festival, ce fut au tour de Nadav Lapid (Synonyms), Judith Davis (Whatever Happened to my Revolution) et Nils Tavernier (The Ideal Palace), de venir rencontrer le public, pour les ultimes séances de cette 27e édition.